Michel Lafon

JANNOT Véronique – Au fil de l’autre

Réf: sbe-mlvjfa
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Description

Voir la vie autrement

Extrait

1/   Quand on nous demande de définir le bonheur nous avons souvent du mal. Car il n’y a rien de plus vaste finalement que le bonheur, et de plus changeant. On ne souhaite pas les mêmes choses à vingt ans qu’à quarante ni à cinquante. Heureusement. Et puis il y a des bonheurs qu’il faut avoir assouvis pour comprendre qu’ils n’étaient pas si essentiels. Le bonheur dépend de l’évolution personnelle, de son ouverture à la vie, aux autres, au changement… Pour avoir dû, à travers la maladie, affronter l’idée de la mort à vingt-deux ans et été confrontée à la douleur physique et morale, j’ai réellement appris à profiter de chaque petit bonheur et à vivre comme si chaque jour était le dernier. Dès que l’horizon s’est rouvert devant moi, avec la conscience de l’impermanence de toute chose et du précieux cadeau qu’est la vie, je me suis interdit l’ennui et la médiocrité.

 

2/   Notre esprit est trop actif. Nous sommes éparpillés. Partout, ailleurs et trop rarement « chez soi ». Nous en prenons conscience lorsque nous tombons sur un livre qui soudain fait écho en nous et s’inscrit comme une évidence dans notre ressenti. Nous ne comprenons pas toujours comment les choses sont réellement. Notre interprétation de la réalité est la source de bien des maux. Bien qu’ayant la connaissance ou l’intuition des choses, on se laisse emprisonner par l’esprit. Notre faculté de discernement s’embrouille dans nos émotions parasites. Notre esprit devient confus, notre vue troublée. La manipulation de l’esprit est la cause de la souffrance.

   Le problème est vraiment de trop penser. On devrait s’imposer de laisser de temps en temps notre esprit se reposer, libre de crainte ou d’espoir, dans un état neutre, libre même de l’idée de méditer, simplement aussi naturel que l’on peut. Mais il suffit que l’on se dise qu’il faut arrêter de penser pour penser encore plus. C’est en fait une impression. C’est de porter notre attention sur notre activité mentale qui nous donne ce sentiment. Ne vous inquiétez pas, souriez-en. Il n’y a pas d’urgence. Il faut laisser le temps à l’esprit de se calmer, aux impuretés de se déposer, à la brume de se dissiper.

 

3/   Résumé

   « Toujours pressés par ce temps que l’on ne sait plus prendre ni parfois donner, nous subissons également des pollutions multiples, environnementales et psychologiques, qui fragilisent notre santé autant que notre moral. Il est urgent de réagir, et c’est possible ! Tout au long de ces pages, je vais vous emmener Au fil de l’autre, des rencontres et des découvertes qui m’ont prouvé qu’il y a des moyens de vivre mieux, ensemble et en bonne santé. J’ai vu des forêts resurgir dans des pays désertifiés, des êtres sauver des animaux en voie de disparition, des cultivateurs reprendre avec succès des méthodes ancestrales non polluantes, et des médecins qui s’attachent à éviter les maladies avant d’avoir à les soigner. Car bien se porter, cela passe par la connexion avec soi-même, une certaine discipline de vie, et aussi des médecines ou pratiques alternatives, dont certaines sont encore peu connues et qui peuvent aider un grand nombre d’entre nous. »

   Ce livre est à mettre au chevet de votre vie. Consultez-le régulièrement : c’est un brevet de mieux-être. A moins que vous ne le lisiez d’une traite, car il se dévore comme un roman .

 

Descriptif

Editions Michel Lafon année 2015 ISBN 9782749924458, Bon Etat général, couverture souple, tranche et dos un peu passés et marqués, intérieur assez frais, tranches des pages un peu salies, livre d’occasion broché grand format de 15,5x23,7 cm, 384 pages

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